- Citation :
- Etant donner que Eranoth était au début une histoire, j'ai pensé a mettre ceci en scénario. J'avais fais plusieurs début de chapitre 1
Un souffle chaud et un liquide se repose sur ma joue. Cela fait des jours et des jours que je ressens ceci. J'aimerai pouvoir ouvrir les yeux et voir d'ou en provient la source, mais, cela m'est impossible. Je suis bloqué dans un monde étrange, que je modèle, le monde de mes rèves. Au dessus de ma tête, dans le ciel, une brèche lumineuse hors de portée. C'est de cette brèche que les voix que j'entends, ainsi que les pleurs font échos. Je pense que celle-ci est mon salut, ce qui donnera fin au règne du sommeil.
Après 4 heures d'attentes interminable, ce que je croyais impossible est en train de se réaliser... Une force " invisible "me soulève, m'approchant de la lumière. Les bruits sont alors de plus en plus fort. Quand je passe la tête a travers, un flash lumineux. Après que celui-ci est disparu, j'ouvre les yeux. Je n'étais plus dans mes rèves mais, dans un lit d'hopital dans les bras de ma mère, en larmes, alors qu'elle était rongés de chagrin, je frodonne un petit mot, qui a pour but de lui redonner espoir : Maman.
Celle-ci, me regarda d'un air stupéfait et me serre plus fort que d'habitude dans ses bras, tremblant de joie. Dans ses pleurs, je décrypte les mots :
" Je savais que tu ne mourrirais pas ... "
Un sourire se dresse sur mon visage, comblant ma mère de bohneur. Mais, le réconfort fût bref. Une douleur vive me frappa alors, c'est alors que j'ai l'impression de tomber. Dans ma chute, je regarde le plafond de la chambre d'hopîtal qui peu à peu se transforme en ma brèche lumineuse. Un " Tiiiiiiii " résonne alors, et des hurlements se joignèrent aux pleurs de ma mère. De mes dernières forces, je dis :
" Je croyais... que je ne mourrirais pas... "
Cette phrase me fit perdre espoir, et laissa les tènèbres m'aspirer comme un vulgaire objet.
Quand le sol approche enfin, après cette chute des plus longues, je remarque que ce n'était pas le sol de mon rève, mais c'est des dalles, certaines brisés, je n'allais pas attérir dans la nature, mais dans une salle sans plafond, dans laquelle se trouve des pilliers en marbre a moitié casser. Quand l'impact du sol et de mon corps arriva, je remarque que miraculeusement je n'ai pas eu mal. En me relevant, j'aperçois a gauche et à droite, des personnes vagabondantes, d'un regard vide, et devant moi, une femme, recouverte de noir avec une capuche et une faux brillante, celle-ci me dit d'une voix ténébreuse :
" Tu es... à moi... "